31 Octobre PV Jimmy

Tout d’abord les jours ou les invitations arrivaient bien des élèves étaient surpris. Je faisais partie de ce lot de surprit. J’avais arrivé Mardi en retrouvant dans ma porte de casier une enveloppe m’invitant dans une fête pour le 31 Octobre. Les noms y figurant me faisait toujours aussi rire ‘’Adams’’ quelle bonne surprise. Comme un d’entre eux était un bon ami, je n’avais pas droit de dire nom. Donc en rentrant chez moi je demandais à ma tente de me faire un costume.

Je ne désirais pas porter ma tenu de comptions d’équitation, je pris alors le choix d’oser m’habillez en pompom girl. Mais j’avais fais une merveilleuse bourre en resservant mon costume vendredi soir. Je n’avais rien d’une meneuse de claque comprit leurs formes physique et personnalité. Je me regardais longtemps dans le miroir pour y voir ma frimousse un peu étrange : des lèvres rougeâtres, une tenue plutôt courte et des pompons rouges et blancs.

Mais au bout d’un moment, ma tante vient frapper en me disant que c’était leurs de partir. Je pris donc un long manteau m’allant aux genoux et des souliers sportifs. J’embarquais dans la vielle Saturne de ma tante et partie chez Jimmy.

Regardant le monde a l’extérieure, je n’avais aucune envie d’y entrer seulement mon courage a deux mains j’y allais. Je donnais mon manteau à une dame qui l’accrochait et je me faufilant entre les gens en cachant ma tenue le plus possible. C’était une vraie honte à mes yeux. Puis j’arrivais devant la cuisine ou plusieurs s’amusait en danser, mais en voyant une fille costumer comme un ange quand celle-ci est une vraie garce je me suis mis à rire. Je tournais aussitôt de bord avant de m’assoir sur le divan.

Les gens passèrent en me portant pas attention, puis tanner j’allais visiter la maison en mottant les marches j’étais dégouté de voir une demoiselle à moitié nue. Ma honte en faisait partie, je descends les marches dans une grande rapidité et arrivait dans le hall.

Étant encore sur le choc de la jeune fille de dix-sept ans déguiser en lapin version 3X et un mec après la tripoter, je sursautais aux paroles de Jimmy. Mais en me connaissant je n’allais pas me retenir de paraitre comme une idiote devant plein de monde et surtout que j’étais la ‘’folle’’ ou la ‘’maladroite’’ de service. Je fis aller mes pompons pour m’amuser (comme sur ma signature) avant de le voir en costume de basket.

- Je sais, le pire je me sens mal dans cette tenue, mais je désirais porter une chose qui étonnerais plus d’un. Mais dis donc, je ne suis pas la seule à avoir choisie un costume amusant. De plus que nous sommes tout les deux dans les mêmes couleurs. Je dois dire que nous serons surement prient en photo. Mais avant tu es en basketteur ! Je ne croyais jamais te voir ainsi…

En regardant par-dessus son épaule je vis Mélissa en infermière un peu trop sexy à mon goût. Je soupirais et regardais avec un sourire enjouer mon ami. Je tournais à l’entour de lui une ou deux fois avant de réaliser que cette action paraissait étrange. Je stoppais devant lui et en le trainant de force dans le salon je fonçais dans le dos de son frère. Je levais la tête en disant salut Matt.

Je l’avais connue trois semaines après avoir reçue ma retenue avec Jimmy. J’avais été invité chez lui par ses parents et malgré le tout, nous avons passé la journée a jour aux jeux vidéos et le pauvre je le battais souvent. Ce soir-la son frère arrivais pour souper et moi je devais rentrer a la maison, car ma tante voulait que je soupe avec mes parents. Bon c’était breff comme rencontre, mais bon.

Je le contournais avec la main de Jimmy dans la mienne avant d’arriver devant une fille qui prenait des photographies pour facebook. Je regardais Jimmy avec un sourire un peu… mesquin.

- Sa te dis juste une photo une seule ?

Dis-je à Jimmy. Je me plaçais devant lui, tenant mes pompons contre mes hanches.

J’étais la planté devant lui en l’écoutant discuter, il trouvait mon costume réussie voilà qui me fait sourire dans cette soirée. Puis quand il avoua que nos tenus ressemblaient à un petit couple, je ne retiens pas mon rire pendant quelque secondes. Mais il parlait automatiquement d’autre chose. Sa me semblait étrange mais je passais déçue avant de le trainer de force vers la photographe. En la regardant plus se n’était pas une élève, mais la photographe officiel de l’école.

Je nous plaisais en ligne d’attente et la regardais enjouer de l’évènement. Elle allait surement prendre cette fête pour en parler dans des revues ou autre. Je connais surement le futur titre ‘’L’évènement des futurs stars’’. J’imaginais déjà les magasines de célébrités et reportage holala un bon point pour touts.

Le couple d’ami devant nous est costumé en fée et l’autre en Superman. Quand c’était notre tour la photographe avait le sourire aux lèvres. Le tirant vers moi je me plaisais devant lui dans une pose rigolote. Par la suite la photographe a demandés diverses poses. Personnellement je crois qu’elle s’amusait plus que moi cette fois-ci. En fait comme les costumés était ressemblant vous pouvez imaginez les poses qu’elle nous demandait. Touts ceux qui peux paraitre rigolant et crédible de paraître dans un magasine. Quand tout était terminé, je lui demandais poliment de les envoyer chez mon agent pour mon portfolio. Puis en le voyant quitter je marchais rapidement vers lui.

- HEY ! Attend moi !

Quand j’arrivais près de lui je me fis bousculer assez violement. Je tombais près d’une table ou un vase tomba sur le sol. Les éclats de verre m’arrivaient dessus le genou. J’essais de me lever, mais sentis quelques choses bouger dans ma jambe. Le gars qui m’avait poussé était bourrer et la fête venait juste de commencer. Il me regardait avec une tête de ‘’ fait donc plus attention’’. Sa me choquais perdurent. Une fille vient près de moi et me regardais avec le visage blanc. Je n’osais pas regardés, mais je le fis tout de même. Baissant les yeux j’aperçue un morceau prit, j’allais l’enlever mais c’étais une mauvaise idée…

Une photographie par ici une autre par la. Tout est le plus amusant, j’adorais apercevoir le flash se frotter contre notre peau. J’avais les yeux sensible vue leurs couleurs, mais j’adorais cette sensation de faire qu’une avec l’appareille. Je m’amusais drôlement en tournant sur moi-même, serrant Jimmy dans mes bras ou les poses de meneuse de claque qui ressemblait plus idiotes que d’autres choses. Faut comprendre une chose dans l’école secondaire je suis reconnue pour cette situation… celle d’être la fofolle de service. Je devais dire que je n’es pas peur du ridicule donc leurs petits poses qui se produisait n’était rien comparer à ma maladresse permanente. Mais présentement je ne portais plus d’impotence à mon partenaire puisque je m’amusais trop à prendre des poses. Mais à certain moment je réalisais qu’il était présent par exemple a chaque fois qu’il me touchait les hanches ou quand il devait me serrez dans les bras. La ligne d’attente s’amusait à nous regardé tout en se marrant de nous. Normal il était plus grand que moi d’une ou deux têtes. Mais malgré cela je dois dire que je faisais une vrai imbécile de moi. Tendis que Jimmy était d’habitude un peut plus réserver il devait trouver cette situation assez créatif.

La pause était enfin arrivé et l’amusement disparue, mais je ne sais pourquoi je restais proche de lui tout le temps avant de reprendre la séance il me dit quelque chose qui me fis marrer. Je me tournais vers lui, sourire radieux et une grimasse sortie.

- Ta raison, en plus je crois qu’elle est plus folle que moi. Je viens de perde mon règne. Moi qui croyait être la Reine de la joie de ce soir.

Dis-je pour rigoler simplement. La séance était terminer et nous étions partie. Je lui courrais après puisqu’il était partie sans m’avertir ce qui m’étonnais vraiment de lui. Il ne m’avait jamais fait ce coup depuis le temps que nous sommes amis, alors la j’avais été a la bourde. Mais il ne faut pas toujours croire d’autre chose surtout si cela parais unique en tout genre. Jimmy était à deux mètres de moi quand un gars vient me bousculer brutalement. Je crois qu’avec l’alcool dans le sang il n’avait pas remarqué la bousculade qu’il m’avait faite. A dire que tout le monde avait remarqué et au bout d’un moment lui aussi. Les gens s’inquiétaient mais quand Jimmy arrivait, je crois remarquer que j’étais plus calme que lui. Il essayait de m’aider à me relever seulement la douleur m’était atroce. Il m’aidait à me lever, mais je retombais quatre fois avant de me lever complètement. Je boyautais à chaque fois et un cri de douleurs apparaissait. Il me dit de le suivre ce que je fis avec son aide bien sûr. Quand nous sortons de la maison je compris alors tout. J’allais être apporté dans un hôpital en plus c’était le pire endroit ou je pouvais aller. Quand je sors un autre cri le sang sortait un peu plus. Il me prit alors comme si nous étions dans un conte de fée. Le rouge me montait aux joues, mais je détournais la tête rapidement.

- Je suis désolé.

Nous étions en chemin et je n’osais plus trop parler pour la simple raison que je me sentais coupable d’avoir un peu gâcher la fête. C’était toujours ma maladresse qui m’apportait la honte. Nous arrivons a l’Hôpital général quand j’aperçue un des parents de Jimmy. Je tournais la tête vers le cou de celui-ci pour ne pas me sentir encore plus gêner de la situation. Il fallait qu’un d’entre eux vienne m’aider et voila qu’un parent était présent. Puis les talons haut s’approchèrent et je devinais que sa mère n’allait pas me faire attendre comme tout les autres personnes. J’attendis la voix effreyer de sa mère ordonnant a son fils de l’apporter dans une chambre. Je voulais dire quelque chose, mais ma voix était couper par le stresse de l’évènement. Me déposant sur le lit je gardais la tête basse.

L’Hôpital Général De Gatineau, est le lieu le plus détesté par les habitants de cette ville. L’attente pouvait rejoindre les 24heures et même les 48heures. Cet univers est une vraie horreur. Mais voyant le regard de sa mère je me sentais faible. Ma mère m’aurait regardé avec un regard d’un père et non celui que sa mère me laissait apercevoir. C’était d’un étrange total. Je décidai alors de me calmer et de la respecter encore plus. Elle nous proposa d’aller dans la salle 25. Sa couleur d’un bleu bébé, et un seul lit me gênais assez. Je n’avais jamais eux l’habitude de rester enfermer avec une personne dans une petite pièce ainsi surtout dans cette situation. Il me dit encore d’arrêter de m’en vouloir en me prenant par le menton. Le rouge apparu alors sur mes joues. Je le regardais avec une couleur tomate. C’est à cet instant que sa mère entra avec un sourire aux lèvres en nous voyant ainsi. Je suis sur qu’elle n’avait pas voulue nous voir ainsi. Le rouge était devenu plus puissant.

Je détournais la tête en souriant timidement, sa mère s’approcha de moi en fixant ma jambe. Elle nous annonça alors que d’après elle, le ligament du genou est touché par le bris de verre. Elle me demandait qu’est-ce qui c’étais passer. Je lui expliquais tout en ne mentionnant pas le gars bourré. Je lui expliquai qu’un vase tombais sur mon genoux en se fracassant sur après sur le sol. Elle me regardait avec un regard que je ne connaissais pas vraiment. Puis elle parlait et je ne comprenais rien. Je regardais Jimmy avec un air perdu. Elle ne parlait pas anglais, mais je ne comprenais rien dans ses paroles. Je commençais a tomber de fatigue vue l’heure. J’allais devoir appeler ma tante qui allait être furieuse et qui désirais surement apporter le soulons devant la justice, mais bon.

Sa mère me dit qu’aucune opération n’allait être faite, mais qu’elle l’ôtera avec douleur. Je la fixais et elle ordonna à Jimmy et aux infermières de me tenir.

- Vous n’allez pas le retirer ?

Elle me regardait alors avec un regard sérieux, mon regard apeurer allait rejoindre celle de Jimmy. Elle commença alors la mission ‘’Sauvons Fred’’. Je ne pouvais retenir mes cris et mes lames. M’endormir n’allais servir a rien, car il était profond mais pas assez pour avoir percé mon ligament total. Je criais et les gens qui me tonnaient m’empêchaient de bouger. Doucement je sentais le verre sortir de mon genou, le sang descendit doucement en laissant un tracer très net. Quinze minute plus tard, tout était ôter et la plait qui coulait encore m’étais insupportable. Il essayait de stopper l’hémorragie et cinq minutes avaient tout arrêté. Je m’étais endormi et sa mère me fit une transfusion. Ma jambe était rouge et le costume de Jimmy aussi. On me transfère alors dans une chambre pour les personnes venant d’avoir une ‘’opération’’. En dormant je bougeais un peu la jambe et a cet instant je m’éveillai en criant. Une infermière vient me retenir par les épaules et m’injecta quelques choses qui me firent endormir encore.

Je me réveillais en attendant les voix de personne, puis j’ouvris les yeux. Ma tante n’était pas présente, mais la mère de Jimmy et celui-ci oui.

- j’ai mal au cœur

-( Adam mom) C’est normal. Nous t’avons donné un calmant. Ta tante de répond pas a la maison. Dans ton dossier il y avait celui de tes parents mais eux aussi ne répondre pas… nous essayons encore.

- Merci.

Je tournais la tête vers Jimmy.

- Une vraie fête de l’horreur.

Moi qui était d’habitude enjouer et exister dès mon réveille je devais être affreuse a regarder. Je sentais ma gorge nouer par la douleur des cris, mes joues me brûlaient et mon sourire ne voulait pas apparaitre. De plus j’avais mal au cœur, je n’étais pas si affreuse depuis mon accident il y a sept ans. Je remarquais son visage qui n’exprimais aucune émotion était rendue froid. Je ne voulais pas me lever pour rendre la douleur plus atroce qu’elle est. Je regardais ma jambe couverte d’un bandage blanc. Entre sa serrassions je ressentais en elle ma chaire qui s’éparait aux moindres gestes faite par ma jambe. Il avait prit le temps de faire un bandage qui me protégeais de tout futur infection, mais les effets sont touts aussi pénible. Je restais donc couché a continuer a le regarder. Je trouvais étrange de ne pas réagir pour lui dire que tout être sur terre mérite leurs sorts. Je restais couché recouvert d’une couverture chaude. Je n’avais plus aucune offre de sang en moi. J’étais calme et même trop. Je détournais la tête pour fixer l’autre côté du lit. Je ne savais plus ou trop donner de la tête. Moi qui se montrais forte dans les moments que je côtois mes amis et autres, voila que je n’avais qu’une seule envie. Je désirais tellement être seule et pleurer les larmes de mon corps. Je laissais certaine sortir sans mon autorisassions. Puis le sort était trop fort, ma tante était une femme douce et gentille qui était surement occupé ou partie. Mes parents était des êtres avars et égoïste, ils ne viendront pas me voir pour la simple raison qu’il m’avait renié. Dans leurs têtes l’équitation et le monde rurale est plus important que moi. J’avais choisis l’art et cette famille me détestait. De plus j’avais gâché la soirée d’un ami, inquiéter sa mère. Mon corps ne pouvait le retenir la douleur qui savait enfermer en moi. Je détournais la tête pour regarder une dernière fois la tête de Jimmy avant de fondre en larmes. La goûte venait de déborder du vase. Je passais a plusieurs reprise mes mains devant mes yeux pour ôter l’accumulation de mes pleures. Je laissais des petits hoquets sortir avant d’arrêter. Je me sentais mieux et bien, c’étais une chose que beaucoup ne pouvais pas comprendre. La plupart croient que mes parents sont morts, mais il ne connait pas la véritable raison.

Je voulais me lever, mais d’un mouvement brusque je sentais ma jambe qui se remettait à saigner. Je J’avais honte de moi et je désirais que Jimmy quitte la salle pour ne pas me voir de nouveau dans cet état. J’avais comment dire… quelque sentiment envers mon meilleur ami, mais j’ignorais l’est qu’elle. Donc quand il me regardait ainsi j’avais envie de le voir partir, oui partir de la pièce et me laisser seule.

Il avait a côté de moi un téléphone qui se mit à sonner. J’arrêtais de pleurer et le regardais sonner sans y répondre tout fois. Dans ce moment j’étais perdue et surtout fatiguer.

Je ne devais plus être moi-même pour laisser une autre personne que moi percevoir ma douleur qui me fait sangloter. Les sentiments qui m’envahissaient se partageaient entre la tristesse, la colère, la déception. C’est affreux de montrer une image telle qu’une fille faible a une personne qui m’est chers à mes yeux. Je devais respirer doucement entre mes hoquets et mes cris de douleur. Les gens qui passèrent dans le couloir devaient penser que j’ai une mauvaise nouvelle, mais rien avoir avec ce que je ressentais présentement. Je pouvais guère bouger mes jambes pour fuir de cette salle, alors quand Jimmy s’approcha de moi doucement en passant sa mes sur ma joue. Je stoppais de crier sans stopper mes larmes qui descendais. En ignorant pourquoi, mais je m’approchais de lui et l’embrassais doucement. J’arrêtais rapidement en détournant la tête, mes joues qui étaient déjà rougeâtre par mes larmes devenaient d’une couleur plus foncés. Je le regardais pas et n’aurais pas trop me défendre.

- Je suis…désoler je n’es pas voulue…pardonne-moi.

Qu’est-ce qui m’avais pris ? Comment j’avais osée profiter de la situation qui s’avait présenté à moi ? Suis-je comme toutes les autres filles ? Une fille borné ou joueuse ? Je ne comprenais plus dans qu’elle situation je m’avais embarqué. Moi qui n’osais jamais mettre amour et amitié en commun voila que j’embrasse mon meilleur ami. C’était une grosse erreur ou peut-être pas… Avais-je répondue à des signales qui m’était envoyer. Je crois peut-être que ma vie était trop compliquer et ma faiblesse avait prit le dessus de moi. Mon corps m’envoyais t’il des signaux ? Je l’ignore totalement, mais la seule chose que je comprenais était que j’avais profité du geste de Jimmy.

Gardant la tête de côté, je ne voulais plus le regarder et ni attendre sa voix. Voilà que moi la petite Frédérique voulais fuir le moment et l’oublié a jamais. C’est horrible de penser ainsi, mais le fait que mes émotions se mélangeais et mes gestes de même. La souffrance ne pouvait aider, mais je devais faire preuve de courage et ne pas montrer ma faiblesse. Retournant ma tête vers lui :

- Écoute oublie Jimmy !

Dis-je avec une voix trop hésitante. Le perplexe m’étais le meilleur mot présent.

J’en avais assez, je ne voulais vraiment plus le voir près de moi. Je me sentais misérable et affreuse. C’était une émotion que je n’aimais pas du tout. Je ne comprenais pas mes émotions et surtout pourquoi j’ai osé l’embrasser. Mais le fait qu’il vient me prendre dans ses bras en s’assoyant dans mon lit me rendais encore plus nerveuse, mes joues devient rouge et a cet instant je choisie la meilleure chose à faire. Mes larmes coulèrent de nouveau, j’attrapai le bouton d’appel et appuya. Quelques minutes plus tard l’infermière arriva. J’ai n’es pas dis un mot qu’elle comprenait – vive les femmes - . Elle demanda à Jimmy de sortir de la salle sous une fausse excuse et de revenir plus tard. Mais le problème est que Fred sortait demain vus c’est désire.

Je le regardais sortir avec difficulté, mais je lui avais tenue la main quand il avait débarqué du lit. C’étais affreux, car je désirais qu’il parte mais un autre côté non.