Le retour (PV: JIMMY)

Le deux novembre à dix-huit heures vingt-cinq, je quittais l’hôpital avec l’accord d’un autre médecin que Madame Adams. Ma tente qui avait maintenant quitté le Canada pour l’Angleterre, une amie de ma tente m’apportait dans mon nouvel appartement. Il était bien placer, entre main et Maloney proche de la station de gaz ou j’allais surement donner mon nom pour y travailler. Ma tente payait mon appartement et mes dépense grâce a la carte Américain Expresse, mais cela n’apportait tout de même peux. Je n’avais pas vue mes amis depuis le 31 Octobre et surtout Jimmy. Je n’allais pas être présente à l’école avant jeudi le 18 novembre. Mais, pour m’aider une femme venait deux fois par semaines faire le ménage ainsi m’aider dans mes déplacement. Je travaillais quelques fois a la station de gaz et mes amis m’annonça que des rumeurs circulais sur moi a l’école. Je m’en fichais complètements, mais je m’ennuyais la plus par du temps.

Enfin le grand jour étais arrivé, mon retour a l’école me rendais heureuse mais je décidais d’y aller que le vendredi. Le lendemain c’étais la joie et la véritable joie. Je marchais plus avec des machins et c’était génial. Mes amis était tous après moi en me demandant des nouvelles et comment était mon petit lieu secret et une avait osé me demander comment allait Jimmy, mais elle changeait rapidement de sujet. Je marchais avec une cane comme les personnes âgée, mais les gens m’aidaient quelques fois. C’était étrange mais bon. Il avait le court de Gym à la dernière période .

Je savais que j’allais croiser Jimmy et cela me choquait, j’avais été si monstrueuse qu’il allait me détester et même les regards de Matt me blessaient au dîner. Je respirais et allait m’assoir sur un banc et regardais les gens. Puis le moment crucial apparu, Jimmy rentrais doucement comme d’habitude et des filles allait le voir rapidement en lui parlant. Cela m’avait dégouter… Avec ces trois semaines enfermer chez moi, j’avais compris une chose que mon cœur ressentais une forte attirance envers mon meilleur ami. Détournant la tête, je fis semblant de ne l’avoir jamais remarqué. Mais pour dire vrai, j’avais un pincement horrible en moi. Je soupirais et regardais mon ami Valérie me lancer des yeux noir incompréhensible. Alors, mon regard allait sur le sol.

Dans ma tête je ne me disais ‘’ Tu mérite ce qui t’arrive. Tu la cherchée ma grande donc bien bon pour toi’’. Encore une fois un soupire apparu.

Assis sur un banc froid vêtue que d’un simple jean et un débardeur noir où qu’il était écrite ‘’Motor Harley-Davidson Cycles’’. J’avais les jambes croisé contre ma poitrine et regardais le sol. Sans mis attendre des paroles fortes et un peux étrange me parlait. Je levais les yeux en le regardant timidement. Pourquoi sa présence était si héritant ? Facile ! J’avais maintenant des sentiments envers lui. Je n’étais pas très heureuse contre moi, mais je fis mine de rien laisser paraitre.

- Ho ! Jimmy ! J’avoue que la présence dans un hôpital est assez morgue.

À cet instant je laissais tomber mes jambes contre le banc en le regardant toujours. Je dois avouer que cette expérience n’avait pas été que mauvaise puisqu’elle m’avait apportée de la positivité dans un sens. Moi qui avait souvent nié mes émotions et même qui n’aurait jamais voulue comprendre le pourquoi de la chose avant cet accident assez atroce.

Je venais de commencé à lui parlé que des demoiselles de son fan club nous observait et bien sûr elles avaient les oreilles grandes ouvertes. Je soupirais et décida de lui parlé en anglais. Je savais bien qu’elles étaient nulles dans cette matière. Je fis mine de sourire à Jimmy tendis que je me sentais honteuse dans ma peau.

- Comment-vas-tu ? Avant que j’oublie merci et remercie ta mère ce soir !

Ho ! là ! Je ne savais vraiment pas dire. Je baissais la tête, car une douleur au cou avait enfin apparu et cela malgré moi. Je posais alors mon regard sur un garçon inconnu. Il était occupé à faire du charme à la petite célébrité de l’école qui s’amusait à le charmé aussi bien. Je me sentais vraiment trop mal pour lui parlé. Je repris mes jambes vers ma poitrine et y déposa mon menton enfin de regarder mes pieds.

Bon Il fallait peut-être enfin tout lui avouer. Mais allais-je avoir ce courage qui me manque totalement. Je ne voulais pas l’avouer autrefois sur les sentiments qui m’avais envahis après notre rencontre, mais après que j’y avais réfléchit et tout peut-être devrais-je me lever et lui dire. D’accord je ne serais pas la première fille à lui avouer… mais peut-être suis-je la seule qui c’est approché de lui. Il allait surement penser que je l’avais utilisé pour ma guise même-ci c’était faux. Je suis perdue entre la bonne route – lui avouer toutes – et la mauvaise route – s’éloigné de lui le plus possible-.

Je l’écoutais me parlé d’une manière si normal, mais son expression n’allait pas m’aider. Il avait une de ces manières de me lancer un regard de mépris alors que le regard devrait être celui d’un ami. Comment lui en vouloir de ce caractère avec le rejet que je lui avais fait subir. Je n’étais aucunement un véritable amie qui agissait pour son bien, non je me trouvais être la sœur ou la fille d’un être démoniaque quoique Satan pourrait être mon véritable géniteur, père, après toutes ne suis-je pas aussi cruel que lui et je ne pourrais pas le nier.

J’ignorais alors son commentaire si froid et direct pour en revenir à la chose importante. Je dois avouer que ma vie n’avait pas toujours été rose, mais j’aurais bien mieux aimé être une autre personne pour ne pas le faire souffrir ainsi. Mais alors que je m’attendais le moins, il demandait aux jeunes filles d’aller lui chercher une bouteille. Certaine on dit qu’elle y allait et partirent sur le coup que non c’était elle qui allait. À quoi bon sa changeait et elles y sont toutes allé. Je pouvais que sourire intérieurement à cette attitude si passionner. Pour mon sort, je restais assis en ne voulant pas lui parlé trop. Puis il ne voulait pas répondre à ma question. Je devais avouer que c’est assez normal et malgré que je sois blessé, je devais lui répondre quelques choses aussi. Alors en prenant quelques minutes sans parler et je pris une grande respiration de courage.

- Écoute, ma réaction avait été assez méchante non cruelle la dernière fois. Je ne sais pas comment réagir, car je ne possède pas le courage que tu as. Si tu m’aurais fais la même chose je ne te parlerais jamais. Je ne comprends pas ce que je ressens donc il ne faut pas m’en vouloir trop. S’il vous plait je suis sûr que tu es furieux non pire que tu voudrais me lancer dans poubelle pour te sentir mieux.

Sous mon respire strident, je levais la tête vers lui. Avec une grande douleur, je me plaçais à genoux sur le banc. Prenant mes mains pour les placer sur ses épaules je le serrais rapidement contre moi en pleurent encore une fois comme une gamine trop idiote.

- Je crois que je suis amoureuse de toi !