<< Mademoiselle Gagnon !>> PV: Jimmy

<< Mademoiselle Gagnon !>>

- Dans le fond de la grande ville de Gatineau se cache un château ou celui-ci ce remplie d’homme des plus misérable et une mère n’ayant aucun caractère féminin et qui déteste la music, mais dans un endroit plus proches se cache une petite maison remplie de charme et d’amour. Nous trouvons à l’intérieure une femme d’une quarantaine d’année et une demoiselle d’une jeunesse puissante. Cette famille vive de musique et de chants…

- HEY MINUTE ! Mélissa qu’est-ce que tu fais ? Tu t’inspire de ma vie pour crée ton histoire en français ?

- Non, non… je n’y avais pas pensé.

- Pas du tout ?

- NON ! Je te jure.

Comment ne pouvoir de la croire même-ci nous savons qu’elle ment. Je la regardais perplexe et ne fis qu’une grimasse pour la réprimander. Mélissa jeune fille originaire de Montréal, elle ressemblait à une femme de couleur. Sa peau plutôt marbres, ses yeux d’un brun presque noir et des lèvres légèrement gonfler… elle paraissait a une poupée sortit d’une boîte magique. Tendis que moi, grande blonde au physique banale avait tout a lui envié seulement je n’avais aucune raison de faire cela.

Nous étions assis à la cafétéria après boires un café tendis qu’elle s’amusait à prendre ma vie pour un conte de fée. J’étais déçue de cette attitude, mais allège faire un drame pour cela ? Non ce n’étais pas mon genre. La première cloche sonnait et j’étais la seule n’ayant aucun cartable dans ses mains. Me levant en faisant renverser la chaise sur le sol, je sors rapidement de la cafétéria et bouscula un jeune homme de mon âge. Je me tournais et agitais les bras. Je le regardais et marchais en l’envers – non par devant mais par arrière. Dos avant tout.- Je lui disais désolé trois ou cinq fois avant de me retourner pour courir vers ma case.

Comme toujours j’arrivais en retard, j’entrais par un porte en espérant que le prof ne me voyait pas. Un pas, deux, trois…

- Madame Gagnon ce n’est pas en arrivant en retard que vous allez devenir une star.

- Désolé… j’avais oublié mes cartables.

- Comme tout les matins Mademoiselle Gagnon.

- Heu… Ha ! Bien il ne fallait pas me refile une heure si matinal…

- Mademoiselle Gagnon.

- Oui ?

Dis-je avec un sourire aux lèvres, il soupirait et se retournais en riant. Puis en allant a ma place je vis le garçon que j’avais bousculer. Premièrement je me sentis mal et l’ignorais, mais le sentiment de culpabilité était trop puissant. Me penchant en lui faisant signe, je lui dis faiblement désoler. Il ne paraissait pas comprendre. Je lui répète encore désoler et rien de plus. J’avais attendue que des américains soient arrivés dans notre établissement. Tapant avec un poing dans mon autre main. Je lui fis encore le même signe, mais étant trop pencher je tombais sur le sol. La classe riant haute et forte, je sentis contrairement mes joues devenir rouges. La honte était présente seulement mon rire apparue.

Je me levais et demandais pardon à tous. Puis me tournant vers le garçon je lui fis comprendre dans un anglais plus que parfait – normal elle faisait de nombreuses compétions au USA en équitation – <>. N’ayant eux le temps de terminé que l’enseignant nous demandais de rester tout les deux après le cours. Soupirant je m’assois et lui demandais pardon encore.

ET merde une retenue, je devais me pratiquer pour mon album car présentement ma nouvelle chanson était plutôt nouvelle. Medley était une petite mélodie rencontrant l’histoire d’une jeune femme perdue entre la vie et son rêve. Elle était jeune et désirais sortir de son emprise de son père. Elle rêvait de revoir sa mère et à la fin elle décède par la faute de son père. En autre il s’agit d’une mélodie pour les enfants battus.

Je regardais l’enseignant un sourire satisfait, il me souriait et s’amusait à me faire répondre a tout les réponses. Mais l’idiot savait très bien que j’étais une de ses meilleures élèves féminins. Je commençais a le détester de plus en plus. Il m’était méprisant et de plus il était ami avec ma tante. Il dit mon nom trois fois et lui fis une grimasse de mépris. Il dit encore ‘’Mademoiselle Gagnon’’.

- Oui ?

- Avez-vous compris ma question.

- laquelle ? Si je suis toujours décue que vous me priver de ma réservation du studio ?

- Vous avez un bon sens de l’humour.

- Comme ma chère tante que vous aimez bien… non ?

La classe se mit à rire, car son visage était rouge de gêne. En le connaissant très bien il allait s’amuser avec moi en disant a ma tante que j’essais de séduire des garçons de ma classes. Le pire est qu’elle y croirait.

La cloche sonnait et j’approchais de l’enseignant. Il me présentait le nouveau et se mis a parler anglai.

- Ha ! J’avais raison il est anglais.

Je souriais, mais pauvre garçons je n’allais plus lui parler anglais. Je me tournais et lui souriais.

- Salut ! Je suis Frédérique

- (enseignant) Apelle-la maladroite.

Baissant la tête rapidement, je la retournais avec un regard noir vers l’enseignant qui ne fait que rire de plus belles. C’était décourageant pour moi. Je me tournais de nouveau vers le garçon.

- Ne l’écoute pas, il s’agit d’un vieux sénile.

- FRED !

- Oui, j’ai compris ma tante va tout savoir. Bon ma retenue !

Je l’écoutais et ma retenue me surpris, j’allais devoir passer deux heures avec un certain Jimmy pour soit travaillez sur l’histoire ou sur notre musique

Ne pouvant retenir mon rire quand il dit normalement que l’enseignant possédait le plus affreux des anglais. Il avait raison, car une journée nous avons tous étés a Toronto et monsieur me demandais de traduire tout mais vraiment tout. Par exemple il désirait prendre le métro, mais celui-ci expliquait qu’il s’agissait d’un sous-marin du restaurant subway.

- Si tu savais comment il est nul, mais le pauvre… Il essai de séduire des anglaises avec cela.

Comme je l’avais ignoré sur ses paroles de ‘’ je comprends et parle français parfaitement’’. Je le vis quitter la classe. Le prenant par la manche de son chandail en soupirant fortement.

- Je suis désolé de t’apprendre mais avec lui… les retenues son ici et nul part d’autre. Et pendant le temps tu l’attendras soit dormir donc ronfler ou encore mangé…

Je me tournais et allait m’assoir a ma place. Je sors mon Ipod et commençais à jouer du piano sur mon bureau. C’était peut-être idiot, mais avec un prof comme lui… il fallait quand même écouter. Je n’allais pas m’amuser ce soir, car il allait venir souper et les rumeurs allaient partir.

L’enseignant était un homme 1m82, il avait un ventre assez rond et large. Il avait les cheveux noir et des yeux verts. Il mangeait des chips format large. Il ressemblait un homme trop grand ne pratiquant aucun sport et n’étant pas en santé. Je soupirais et continuais a jouer sur le bureau. Il posa son regard sur moi et je lui répondis par une grimasse affreuse.

- Qu’est-ce que vous me voulez encore.

- Rien rien

Son sourire fière me disait tout avant. Je le regardais curieuse, mais laissait tombé.

Je tapotais et terminais la tête sur le bureau après y jouer avec mes écouteurs. Je commençais en m’ennuyer de mon piano et de mon micros. Je n’avais pas composé les paroles ni la musique, mais je devais jouer et chanter moi-même. J’avais ma chanson dans la tête et commençais a capoter. Je me frottais rapidement les mains sur la tête pour me calmer. L’enseignant Monsieur Gelina se mit à rire encore une fois. Je lui lançais un regard noir ce qui produit un rire plus puissant.

Au bout d’un instant il s’endormit enfin la paix. Sans mis attendre Jimmy se pencha vers moi en me posant une question. Je regardais l’enseignant coucher sur son sac de chip et ronflant d’un ton puissant. Je me penchais a mon tour et lui dit ‘’ Non inquiète, il se réveille dans trois heures. Le concierge s’amuse à le retrouver pour le réveiller. Dire qu’il est un enseignant important de l’école. ‘’

Je me penchais, pris mon sac et marchait doucement. J’étais sortis et marchais vers la cafétéria, sans m’apercevoir que le sol était trempe je glissais en laissant attendre un ‘’boom’. J’étais vraiment trop maladroite. Je me levais en regardant si personne n’avait vue, mais malheureusement Jimmy m’avait vue.

- Tu ne le dis à personne ! On garde sa pour nous. Déjà que ma maladresse serait mauvais pour mon lancement d’album.

Je n’avais pas envi d’avoir une mauvaise réputation.

- Je ne suis pas toujours aussi maladroite.

Petit mensonge personnelle, car pour la vérité… j’étais vraiment la pire maladroite de l’école. Je n’avais jamais de chance dans ma catégorie de demoiselle.

J’allais avoir une douleur au postérieure pendant quelques heures ou encore jours. Je n’appréciais pas la situation mais bon. Prenant sa main et me leva grâce a lui. Je le regardais en le remercia avec un sourire. Je marchais plus tranquillement dans la cafétéria et m’assois. Je regardais le vide dans la pièce et commençais à détester le silence qui s’avait interposé.

- Donc si je comprends bien… tu es américain ? Tu parle anglais et français ? C’est sympa… Tu as une chance, car sinon j’aurais fais parlé en français pour que tu pratique ton français.

C’était peut-être direct, mais d’après mes souvenirs les américains comprennent les gens directe. Je me levais et allait me chercher une bouteille d’eau.

- Tu en veux une ?

Dis-je simplement, je choisie une bouteille d’eau filtré et attendue qu’il me donne sa réponse avant de retourner ma place. Étant assis je sors un pot de framboise et commença en mangé et relire mes paroles. Je lui tendis le pot en lui proposant d’en prendre s’il en désire. J’avis quelques fois de la difficulté à imaginer ma chanson mais continua, puis je le regardais quelques fois pour voir ce qu’il faisait. Je tapotais le pied sur le sol en même temps que le rythme de les paroles.

Il m’expliquait sur le propos de son frère et je le regardais sans rire. Il avait donc vraiment une personne intelligente et un idiot par famille. Le problème… chez moi ma famille est idiote et je suis la seule brillante. Je suis déjà plus jeunes que mes frères et je parle trois langues importantes : français, anglais, espagnol. Tendis que je pratiquais ma musique, il refusait mes deux offres et continuais comme si rien n’étais. Je fis cela pendant cinq ou dix minutes avant de recevoir un texto de Mélissa.

‘’ Mélissa’’ – Yo, Fred ! Tu t’amuse avec le vieux ? Val dit que grâce a toi un mec est prit en retenue. Maladroite la fille !

‘’Moi’’ – La ferme ! La ferme !

‘’Mélissa’’ – Hey ! Choque toi pas, tu me donne encore plus envie d’écrire sur toi pour mon histoire.

‘’Moi’’ – Bye !


Je déposais mon portable sur la table. Je regardais mes feuilles et compris quelques erreurs de l’auteur. Je corrigeais rapidement avant de continuer à tapoter sur le sol. Je m’ennuyais de ne pas pouvoir jouer un peu de piano. Les locales était présentement prit par une autre personne. Soupirant quelques fois pour me calmer lors des fautes. Tanner, je sors une revue ‘’ Western’’ et regardais le contenue. Je remarquais ne chemise adorable et des bottes qui me faisait rêver. Je notais le numéro de séries et l’envoyais par texto a ma tante. Elle allait comprendre et commende ma petite ‘’commende’’. Le silence me faisait capoter. J’allumais mon ipod et mis les paroles que je chantais. Je crois qu’il était un peut trop fort, mais j’ignorais et continuais à tapoter le sol en m’amusant grandement.

Au bout d’un instant mon ipod vient à s’éteindre par manque d’énergie. C’étais décevant pour moi, car un moment sans musique est un dès pire qu’il existe bien sur d’autre son présent. La musique possède de nombreuse signification. Elle vient à faire rêver, produire un amusement important, la tristesse et l’angoisse. L’humain ne peut vivre sans elle et mon but était d’y participé en faisant rêvé chaque humains de la terre en leurs faisant comprendre mon point de vue. Donc quand il se fermait j’étais déçue de ne pouvoir attendre ma chanson qui m’apportait tant dans ce petit monde dans le qu’elle je vis. Mais grâce au moment sans son j’attendis les paroles de Jimmy. Levant les yeux j’aperçue l’enseignant debout, essouffler, un visage plus que rouge et un partielle de sueur sur son chandail. A sa vue, nous serrons dans une rapidité extrême nos livres avant de courir pour lui fuir. Je tournais brièvement la tête et l’aperçue courir avec difficulté. Plus qu’il envasait plus sa sueur s’élargissait. Je n’avais à aucun moment envie de le retrouver proche de moi après me crier après. D’un il allait positionner en parlant et de deux il allait surement avoir une odeur un peu insupportable.

Je continuais et ne voyant pas une chaise, je me retrouvais de l’autre côté et elle sur le sol. C’étais encore gênant, mais il nous rattrapa avant même que j’ai eu la peine de répondre a Jimmy. Il m’expliquait brièvement qu’il allait nous revoir samedi et comme-ci cela lui tentait. Je reculais une fois sur deux pour ne pas recevoir de sa salive sur moi. Il nous oubliait à le suivre. Je tournais la tête vers Jimmy. Il venait de dire une chose étonnante. Moi qui le croyais coincé.

- Tu parle ! Je ne vais pas rester trois heures assis à rien faire ! Le samedi si je me souviens il écoute ses émissions. Le pauvre petit, il ne pourrait pas écouté ses émissions en mangeant un gros gros déjeuner.

Il se tournait et me lançais un regard noir, voila sa sera ma fête ce soir.

- J’ai rien dit de mal ! Simplement la pure vérité et regarder je suis un ange.

Il n’en riait pas mais moi oui.

Vous connaissez surement les raisons de la vie, nous naissons, nous vivons et nous mourrons. C’est ridicule surement de penser ainsi, mais présentement j’aurais préférer ne pas être présente pour sentir une odeur aussi atroce de mon enseignant. Puis Jimmy se mit à parler anglais, je le regardais et fixais de même l’enseignant qui nous ignorais. Le pauvre rien comprendre qu’elle dure réalité de la vie.

- ‘’ Non laisse faire la plainte, il est rabat-joie seulement il s’agit d’un enseignant dès plus important au Québec. Les parents ne savent pas comment réagir avec lui. En fait il est un dès meilleur de sa catégorie… même-ci il est idiot. Présentement il croit surement que nous ne parlons pas de lui.’’

Nous allons vers sa classe, il nous donna les papiers et dit de partir. Je dis bye a Jimmy et quitta l’école.


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Samedi Après-midi

Ce matin allait être une vraie bourde. Je me réveille vers 8 :55 et alla directement dans la douche pour me préparer pour la retenue a 10 :45. L’eau était froide encore et cela par la cause de ma tante. Je pris par la suite un déjeuner banal et allait me préparer. Il y a déjà deux jours l’enseignant en question est venu souper à la maison… YAY ! La surprise. Enfin il mangeait tellement étrangement que cela m’énervais. Il était borné et énervant, mais ma tante l’appréciait comme ami. Il avait rencontré que je transformais les élèves sages en vrais diables. C’étais déplaisant, car il inventait de telles sottise que sa me tournais le cœur. Par exemple il disait que je le fais paniquer et courir a ma recherche partout dans l’école. Amusant non ? Oui ! Puisque ma tante avait bien rit en disant qu’il avait pus visité agréablement l’école. Qu’il est stupide en croyant qu’elle allait être en rogne contre moi. Je suis comme sa propre fille qui est normal, elle ne possède pas d’enfant.

Je choisie donc une robe blanche et veste rayer noir-blanche. Ce n’était peut-être pas à la mode, mais bon nous étions les seuls en retenue d’après Monsieur Gelina. Je prends mon sac et parte en bus de ville vers l’école. J’étais assis écouteur dans les oreilles et chantait faiblement. Une enfant et sa mère me regardaient mais je l’est ignorais simplement. Je continuais avant de quitter le bus. Marchant dans l’école pour attendre l’heure, Monsieur Gelina me prit et dit que la classe est ouverte. Étrange j’étais seule avec lui. Jimmy n’était pas arrivé ou il ne viendrait pas, il est peut-être plus brillant que je croyais. L’enseignant essaya de lancer une boule de papier que je ressue déçue la tête.

- Non, mais qu’est-ce que votre problème ?

Il ne répondit pas et se contenta de rire à pleine gorge. Allant m’assoir, je regardais mon livre d’histoire je sentais que pendant une heure j’allais mourir d’ennuie. Assis je lisais lentement et dessinais sur le bureau pour me distraire.

- (enseignant) En retard Monsieur Adams ?

Je levais les yeux en lui faisant bonjour de la main. Avant de retourner dans mes livres

Un bureau de forme carré d’un beige blanc affreux, les marques du passés étaient touts toujours présent. Maintenant elle disparaissait derrière les miennes. Des petits lapins, des notes de musiques, des clefs et bien d’autre. Il fallait absolument que je passe temps d’une manière ou autre. Je restais assise en m’emmerdant avant d’apercevoir Jimmy faire éruption dans la salle de classe. Pendant que l’enseignant ce levait pour chercher dans son armoire a munition, je passais une feuille a Jimmy. Celle-ci représentait notre enseignant en tutu de ballerine. Il était plutôt amusant qu’autre chose. Le montage m’avait peut-être prit la moitié de la nuit, mais j’avais réussie à rendre quelques choses d’imaginaire réel. Je me tournais vers la fenêtre quand Mister Chip nous regardait.

Les heures passèrent et il avait terminé une boisson énergisante, une barre de chocolat et deux sacs de chip avant de s’effondrer sur son bureau et ronfler fortement. Je me levais et commençais à le filmer avec mon portable. Je désirais l’envoyer a ma tante a la fin. Je revenais m’assoir à ma place en prenant mes livres. Je fis signe à Jimmy pour quitter la pièce. Une fois a l’extérieure je ne me retiens pas.

- Comment trouves-tu la photographie de notre enseignant adoré.

Le ‘’adoré’’ est bien sûr un sarcasme qui me fit rire. J’envoyais ma vidéo a ma tante qui allait surement ce marrer derrière son téléphone. J’espérais qu’une seule chose… qu’elle ne soit pas entouré de ses amis qui se moquerais de notre Monsieur Gelina. Il n’avait pas personne ni des gardiens de sécurité. Enfin les moments de libertés étaient enfin arrivés.

Qu’est-ce une école vide ? Une école est un lieu d’apprentissage renferment plus de cinq cent personnes, il est un lieu d’éducation. Les adultes comme les enfants apprennent un sens de la vie qui leurs seras gratifiant dans leurs vie futur. Certain apprendrons le mal et d’autre le bien, certains choisiras de quittés la vie étudiante pour le marché du travail ou commencer a fondé une famille. Contrairement a d’autre ils testeront le tout.

Je ne suis ni un ni pour l’autre. Moi je préfère vivre ma vie de jeune fille en plaisantant tout en évoluant dans mes rêves qui me son important. Il est rare que je ne m’écoutais pas ou ignorais ce que j’avais envie de dire ou hurler a voix haute. Mais pour l’instant la seule satisfaction que je recherchais est le plaisir et la découverte. Restant debout, je me sentais petite a côté de lui. J’arrivais a ses épaules et je n’appréciais pas trop savoir que les gens me regardait de haut, mais bon passons sur cette option de vie plutôt … optimal qui ne pourras pas changer.

Puis il me tira son chapeau pour mon travail de montage.

- Quatre heures, mais sa voulais la peine. Je suis ravie que tu aime.

J’écoutais son idée, ma parole le garçon qui m’était plutôt coincer au premier regard était après devenir comme moi. Puis il commençait à s’amuser.

- Superbe idée ! En plus je sais comment trafiquer la photocopieuse de l’école sans verser aucun montant . Le pauvre, son cœur ne tiendra pas le coup.

Dis-je en le regardant tournée à l’entour de nous. Il était plutôt douer ma parole. Je le regardais faire quelque technique avant d’aller m’assoir sur un banc.

Je pouffai de rire à ses commentaires avant de le regarder glisser un peu partout. Je ne savais ni quoi dire ni quoi faire. Je me couchai sur un banc, mis mes écouteurs dans mes oreilles et me laissait m’apporter par les notes et mes paroles. J’avais mis des jeans sous ma robe par chance. Je respirais doucement mais je ne pouvais m’empêcher de tapoter mon ipod. Mon ventre montait et descendant aux rythmes de ma respiration. Mes yeux se fermaient doucement et je me plongeais sans une calme exemplaire. Au-dessus de ma musique on attendait les bruits de roulettes qui se produisait à chaque rencontre d’un objet ou meubles. C’étais comme-ci un tambour faible venait rejoindre ma guitare. J’imaginais ce que pouvais produire une mélodie avec quelques ténorites de tambour. Je détendais mes jambes en les laissant tombés sur le bas, ma posture qui reflétais le calme total ressemblait amplement a une personne endormis. Bien sûr cela n’étais pas le cas, j’étais très bien réveiller et attendais tout. Tanner d’avoir la tête sur le banc froid et dur, je remarquais que Jimmy étais plus présent. Surement partie de l’autre côté essayer les autres bancs. Je plaçais mon veston blanc-bleu sous ma tête et refermais mes yeux. Respirant aux mêmes rythmes du son, je risquais pas de manquer de concentration. J’ouvris les yeux en regardant cette fois le plafond qui était d’un jaune, blanc horrible. J’imaginais qu’il était nettoyé une ou deux fois par ans. Je ne serais pas étonner de voir des toiles d’araignées un peux partout. Pour une école dès plus répété au monde, elle n’allait pas être une des plus propres qui existe. Je commençais a me relaxer un peut trop, car le sommeil allait prendre possession de moi. Je jouais avec mon collier pour me distraire.

De mes yeux vert,brun, je fixais un nouvel endroit. Le plafond avait aussi une peinture remarquablement bien fait représentant des dieux du chant au centre nous retrouvons l’emblème de l’école et son nom. C’était une peinture dès plus merveilleux.

Je levais une de mes jambes et l’autre restait couché. Mes cheveux blond étaient tous étendue sur ma veste. Je n’attendais plus les roulettes, j’ôtais donc mes écouteurs enfin des attendent. Je fermais mes yeux a nouveaux et relaxais doucement avant des attendre a nouveaux.

Sans réagir par moi-même je courrais vers le son brutal que j’avais pus attendre. J’étais sur qu’il avait tombé en bas des marches, mais a ma grande surprise il était assis sur le sol et cela près de mur. Je me retiens de rire en le voyant prendre ma place de maladroite. J’avançais en lui disant ‘’ Tien mon sort de maladresse t’appartient’’, mais un de mes pieds allait sur la planche et a mon tour je tombais.

Assis près de lui, j’ai pus contenir mon rire. Je n’étais plus la seule personne en pouvant être perdue. Je ramenais la planche et m’approchais de lui en glissant sur le plancher. Quand il tournait la tête vers moi je restais figé, car un coulis de sang apparaissait. Prenant mon sac, je sors un mouchoir et l’essuyais.

- Holala ! Tu tes pas manqué et en plus cette planche désire bouger tout seul.

Dis-je en riant d’un ton faible. Je lui dis de tenir le mouchoir sur le front pendant quelques minutes enfin d’arrêter le saignement qui n’arrêtais pas pour l’instant. Je soupirais en restant assis sur la planche à roulette. Je m’amusais à bouger de droite a gauche sans rien lui dire. Après quelques instants je regardais à l’entour et ne remarquais personne. C’était une bonne chose, car cela voulait dire qu’il dormait toujours.

Pour une des rares fois je le regardais avec un sourire et ris a ses paroles qui me plaisaient. Je pouvais déteindre sur une personne en moins de quelques jours, je trouvais tout simplement cela merveilleux. Pour une des rares fois, on pouvait dire que moi Fred était une personne comme tout les autres et non juste la maladroite de service ou la courageuse et idiote de service. Mais quand il me dit que je restais la reine, je lui fis une grimasse d’amusement qui valait le coup de voir.

- Hey ! Oui, je suis la reine des maladroites de se monde et même un roi ne pourrait pas me battre, car après tout je suis la meilleure dans cette catégorie.

Dis-je pour rire de moi-même un peu. D’accord cela était ridicule mais il était toujours mieux de rire de soit même que de rien en faire. Mes paroles avait aucun mensonge puisque je suis souvent a la bourde. Je l’écoutais de parler de son passer sa ma surpris et sourire, mais il stoppa tout rapidement en disant plus rien. Je n’allais pas le questionner sur le sujet de la raison d’avoir arrêter sa phrase qu’a moitié.

- Sa doit être amusant, moi la seule chose que je fais et je n’es pas arrêter c’est le patin a roulette. Mais des cascades je ne tenterais jamais. En me connaissant je serais encore plus maladroite.

C’était pour détendre un peu l’atmosphère entre ses paroles émise. J’arrêtais de bouger en le voyant fermer les yeux. Je sors alors de mon sac un pansement rose avec des lapins. Je m’approchais assez de son lui et de son visage pour lui coller. Je l’écoutais parler et répondue ‘’Surement dans quelques heures une ou deux’’. Il ouvrit les yeux et je ne remarquais pas trop, je le collais doucement et me rassois sur la planche en souriant fière de mon coup.